La nuit était sombre, le vent soufflait dans les branches avec force. La pluie grondait en gros torrent. Aukse avait le sommeil agité, il se remémorait encore la mort de ses parents, dans les plus exacts détails. Il revivait la situation à la troisième personne et se sentait présent, mais incapable de réagir. Il ressentit une douleur intense lorsqu’il vit Hidan tuer son père, Aukse se réveilla en sursaut, la sueur coulait sur son front, comme ses derniers jours. Il se sentait seul à vivre une telle situation, seul au monde, seul. Le jeune homme s’assit sur le sol et fit le vide intérieur. Une larme naquit dans ses yeux et glissa le long de sa joue pour finir sa vie et disparaître avec le vent. Aukse faisait sans relâche se cauchemar, à chaque nuit depuis le cycle lunaire. Il se rallongea sur le sol et réussit à se rendormir. Aukse fit un rêve étrange, où il se retrouva dans une grande salle tomba en ruine, la salle était piteusement illuminée par une faible lumière. Le toit formait un grand dôme, les murs étaient fissuré et craquelé, la seule chose qui ne sembla pas ravager par le temps se situait au centre de la pièce c’était une majestueuse statue représentant une gamine, le symbole de la fougue, tenant dans ses mains un sablier en or pure et dont la vitre était faite en diamant limpide. En son cou, était accroché un pendentif aussi beau que le sablier. La pierre qui le composait était un quartz céleste. Sur les bordures, Aukse pu voir des symboles qu’il ne pu comprendre. Soudainement, Aukse ressentit un puissante douleur puis se réveilla. Il avait toujours la même vive douleur. Elle était insupportable, de plus en plus elle l’immolait le torse, Aukse se mit à crier de douleur, il souffrait le martyre. Son corps n’était pas la victime, la douleur venait de sa tête. La souffrance s’estompa, puis ses yeux devinrent rougeoyants et miroitaient, ils tournoyèrent follement… Il se leva, magnétisa son sabre. Puis aillant perdu tout contrôle de son corps, Aukse sortit de la maison. Par la suite, il s’éclipsa. En quelques instants, il arriva devant un grand portail graver sur une immense montagne. En un clin d’œil, Aukse fit une dizaine de signes, après il posa sa main sur le mur précisément au centre. Des signes apparurent sur le portail, puis, en un terrible vacarme. Les deux colosses de pierre sur les côtés du portail s’animèrent. Ils dégainèrent leur gigantesque katana, puis chargèrent dans la direction du jeune homme. Il fut étonné de la rapidité que ses adversaires, mais réussit avec facilité à les éviter. Aukse sortit son sabre celui-ci s’illumina, même qu’il s’enflamma avec des flammes de chakra. Aukse se rua vers l’un, bondit en tournoyant et usant d’une force peut humain le tranchant en pièce. Pour le second, il couru dans sa direction, plongea et le transperça violemment, il retomba sur le sol, roula et se releva comme si de rien était. Aukse se dirigea vers la porte qui s’était créée avec les signes, composant le portail, puis il l’ouvrit. Aukse entra, puis la porte se referma… Aukse se réveilla, il était dans une grande salle identique à celle qu’il voyait dans ses rêves. La seule différence qu’il prit conscience fut que la statue ne représentait plus une jeune gamine, elle représentait une magnifique demoiselle dans la vingtaine sûrement symbolisant la beauté. *Mais, où suis-je et comment je me suis rendu ici ?* Il frotta ses yeux, lorsqu’il les rouvrir, Aukse découvrit avec stupéfaction que la statue avait encore changer, elle représentait une vielle dame d’âge mure, le symbole de la sagesse. Aukse s’approcha de la statue, elle portait toujours à son cou le pendentif et, dans ses mains, elle tenait le sablier. Il regarda directement dans le pendentif, il s’illumina et ébloui Aukse, lorsque la lumière s’estompa, Aukse s’aperçu que la pièce était entièrement métamorphosée, les murs étaient en parfaites états, ils étaient dorés. La pièce était illuminée d’une douce lumière. La statue avait disparu. Aukse se tourna et sursauta lorsqu’il vit une petite fille à son chevet, c’était la même gamine que la statue qu’il avait vu dans son rêve.
- Que fait-tu ici petite ? Et où suis-je ?
- Hi !hi !hi !
La gamine rit, puis partit en courant vers une grande porte. Aukse se mit à sa poursuite. Lorsqu’il ouvrit la porte, il fut surprit de voir qu’une ville lui faisait face. Il aperçu la petite fille qui lui souriait au loin, il se remit à sa poursuite. Il finit par arriver dans une ruelle, par contre la gamine n’était plus une enfant, mais une majestueuse demoiselle. Elle se tourna pour faire face à Aukse, puis couru dans sa direction. Elle lui bondit au cou et l’embrassa avec fougue et romantisme. Aukse était sous le choque, mais apprécia extrêmement se qui se passait. La magnifique demoiselle s’arrêta de l’embrasser.
- Viens, suis-moi.
Elle prit Aukse par la main et se mit à courir.
- Mais où m’amènes-tu ?
Aukse la suivit, il n’en n’avait pas réellement le choix. Elle le conduit devant une grande falaise, elle fit quelque signe, un escalier apparu devant eux. Ensemble, ils descendirent, ils arrivèrent dans une chambre mortuaire d’une étonnante beauté. Il y avait, une dizaine de cénotaphes et un tas d’artéfacts et de bijoux.
- Te souviens-tu de quelques choses Aukse ? Te voici dans la chambre funèbre de ta lignée.
- Quoi de quoi parles-tu ?
- Je n’ai plus le temps désoler.
La demoiselle l’embrassa fougueusement. Aukse se réveilla, il était revenu chez lui, il se leva le jour était levé. *Je dois retourner là bas. Par tous les moyens.*
Jeu 3 Jan - 2:33