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| | Katara Tsukiyama | |
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Katara Tsukiyama Genin d'Oto
Nombre de messages : 21 Age : 34 Localisation : Dans les Nuages Date d'inscription : 12/04/2008
Feuille de personnage Nom/Prénom: Tsukiyama Katara Age: 18 exp: (0/100)
| Sujet: Katara Tsukiyama Sam 12 Avr - 15:29 | |
| Prénom : Sarah (encore moi héhé) Age : 18 bis Mangas préféré(s) : Nana bis, Naruto bis, One Piece Bis, Angel Sanctuary Bis Comment avez-vous connu le forum et pourquoi l'avoir choisi lui ? : Bis ^^
Personnage RPG :
Nom : Tsukiyama Prénom : Katara Age : 18 Village désiré : Oto Clan : - - Nîndo : Que si je meurs, ce soit d'Amour.
Description physique : Des cheveux raides comme le bois et longs comme un fleuve, et qui tout comme le fleuve se fraie un chemin à travers l'air, bercé par la litanie du vent. Une peau certes laiteuse mais qui se teinte vite d'espoir au soleil prenant une allure mielleuse qui caractérise sûrement sa douceur mais également son adaptation. Elle possède de grands yeux noirs envoûteur, parfois même ensorceleurs. Noirs, au premiers abord mais qui conque tombera dans ses prunelles se rendra compte qu'il sont plutôt de la couleur d'un océan déchaîné ou d'un lapis-lazulis que les ténèbres auraient emporté. Ils reflètent simplement la noirceur d'un démon qui veut aussi avoir un regard latent sur le monde extérieur. Katara est assez grande, elle atteint un mètre soixante treize et déjà dépasse une moyenne parmi la population féminine qu'elle avait l'habitude de côtoyer. Mais féminine aux premiers abords, elle ne l'est pas tant que ça. Un simple débardeur noir, un gilet bleu et un short de la même couleur, cette tenue étant complété par des chaussures de marches simples et foncés. Elle est svelte et on lui reprochait souvent d'être trop maigre, son visage peut prendre des traits durs et sévères alors même que ses yeux voient le monde à travers les pupilles du Mal. Cependant son expression reste toujours assez neutre, allant du simple sourire au visage complètement renfermé. N'est-ce pas assez affligeant de voir une femme aux allures gracieuses, au regard ensorceleur et de lire dans ce spectacle toute la solitude du monde.
Description du caractère : D'une nature assez craintive, Katara se bat pour combattre vieux démons et actuels démons. Etant une Jiinchuriki, elle a tendance à la schizophrénie dans les moments de passion. Un peu de haine, de rage et de colère permettront à Yonbi de déchaîner sa personnalité sur le caractère assez innocent de son réceptacle humain. En dehors de ce point instable de la psychologie de Tsukiyama, on peut la définir comme étant traumatisée par les hurlements de la mort et le silence des mémoires. Intelligente et plutôt même maligne, elle cache blessure et plaies béantes derrière une galaxie d'actions rebelles, voire désagréable, car elle ne veut pas que l'on découvre la crainte qu'elle éprouve à vivre cette vie. Les gens qui la connaissent peu ou mal, ou qui ne cherche tout simplement pas à le faire, la considère comme une jeune fille assez mal dans sa peau qui cherche à se rendre intéressante par des procédés ironiques. Cependant, avec son entourage proche, qui reste presque inexistant, elle sera qualifiée de jeune femme naturelle et spontanée qui cherche toujours les décisions les plus propices à sa destinée. Elle est consciente du fardeau terrible que la vie lui ordonne de porter jusqu’à sa mort et elle s’en accommode Un côté paisible chez elle, voudrait trouvé une entente avec ce démon qui l’empêche de s’exprimer réellement.
Histoire :
Tout commence dans un petit village nommé Tous les Dieux, au fond d'une vallée du Pays de la Foudre. Dans ce petit village paisible se trouve en réalité l'abysse infernal, ou bouche de l'enfer plus exactement. Celle-ci menace en permanence les villageois, pouvant s'ouvrir à tout moment et laisser échapper la nuit éternelle sur le village, plongeant à jamais la vallée dans les ténèbres. Il existe malgré tout quelque chose permettant d'apaiser la bouche de l'enfer pour qu'elle ne se réveille pas, un rituel qui consiste à chaque génération à sceller le démon Yonbi dans la fille du chef du Village. Cette année, alors qu’elle fête ses dix ans, Katara est choisie pour apaiser l’abysse infernale en recevant dans son corps Yonbi, le démon à quatre queues, perpétuant ainsi la lignée de Jinchuuriki de sa famille. Petite, elle ne s’étonne pas, du tatouage que l’on grave presque à même sa chaire dans le bas de son dos. Ni aux paroles pour le moins alarmante de sa mère qui lui déclare qu’elle ne pourra jamais échapper à cette malédiction. « Pardonne-moi » Était-ce là les mots qu’une mère devait offrir à sa fille le jour de ses dix ans. Certainement pas, et pourtant, Katara pardonna à sa mère cette douleur foudroyante qui lui paralysa le bassin et qui la fit hurler dans une tourmente incroyable durant dix nuits consécutives. Puis, elle se réveilla de ce cauchemar, un petit matin, dans son lit, à moitié attachée. La sueur qui perlait de ses pores ne l’inquiéta pas, pas plus que le sang qui imprégnait les draps. Elle se sentait si lourde, prête à pleurer et à exploser. Elle ne se sentait plus vraiment elle-même et ses yeux, qui étaient jusqu’alors bleus devinrent sombres et obscurs. Elle appela sa mère durant des heures durant, rien n’y fit. Un silence traumatisant lui répondait. Elle détacha alors les liens qui lui restaient et se mit debout avant d’arpenter la villa japonaise qui lui servait de demeure. Aussi vide que terrifiante. Toutes ses tâches de sang sur les murs, et les meubles à moitié défoncés. Folle de douleur et d’inquiétude, de ses petites jambes de gamines, elle avait couru jusqu’aux rues du Village qui était plus bas. (la Maison du chef se trouvant sur une colline un peu éloignée) et découvrit l’horrible vérité après cinq minutes de course. Il ne restait plus rien du Village, à part quelques ruines. Même les cadavres semblaient avoir déserté l’endroit. Elle ralentit son allure pour découvrir des notes accrochées sur les murs, des décrets signés par le Raikage ou elle ne savait qu’elle autre Seigneur du grand Village de ce pays. Un décret qui mettait définitivement fin au rituel. Bien, mais alors où étaient ses parents, et les villageois, mettre fin à ce rituel était-ce rasé ce Village ? Au fond d’elle, elle était sûr qu’aucun Villageois n’était mort, malgré le sang, malgré les ruines et l’odeur de dévastations qui s’était installée dans la zones de son enfance. Son premier réflexe fut de courir jusqu’à Kumo, le Village et de hurler sur le Raikage ou quelqueun : lui hurler de lui rendre sa vie. Cependant, ce réflexe fut bien vite balayé par la peur, la crainte et le désespoir. Pourquoi avait-elle « survécu », si les soldats étaient venus jusque dans sa maison. Ce ne fut que plus tard qu’elle déduisit que le démon Yonbi avait du la protéger durant l’attaque pour ne pas mourir avec elle. Et l’Abysse Infernale ? Elle se mit à courir jusqu’à cette dernière qui se trouvait derrière le Village dans un temple dédié au dieu mais ne put l’atteindre car le Temple, était inaccessible techniquement. Elle rebroussa chemin et quitta définitivement l’endroit en pleurs, se promettant d’y revenir un jour avec ses parents et les Villageois. Elle avait été compatissante au rituel et n’avait pas rechigné à accueillir Yonbi en elle. Alors pourquoi leur en voudrait-elle, elle savait que le sacrifice était la qualité de tout bon chef. C’était son père qui le lui avait appris Elle ne savait pas combien de temps elle avait erré sur les routes du monde ninja, volant pour se nourrir et squattant pour dormir. Jusqu’au jour, celui de sa onzième année, elle arriva aux portes d’Oto totalement épuisée, maigre à crever et hagarde. C’était à peine si elle se souvenait de son prénom, d’où elle venait. Cependant, il y avait toujours cette petite voix caverneuse, enfermée dans une cage qui lui murmurait qui elle était, ce qu’elle ne devait pas oublier et son but : Retourner à l’Abysse Infernale là où Yonbi régnait sur une poignée de villageois. Le Rituel, elle ne devait pas oublier oui, l’injustice, cette petite voix qui la montait contre le Pays de Kumo, contre le Raikage et sa clique. Au moment de franchir les portes, elle s’effondra, souffrante de malnutrition et d’une grippe passagère. Ce furent les ninjas en poste à l’entrée du Village qui la découvrirent et l’emmenèrent à l’hôpital où elle fut prise en charge par des médecins, naturellement. Quatre mois, ce fut sa durée d’hospitalisation, quatre longs mois durant lesquelles elle ne parla pas et mangea que très peu. Elle avait du mal à canaliser ses émotions et la perte de tous les êtres qui lui avaient été chers. L’Otokage traita vite son cas, et quand il fut question pour elle d’aller mieux, on la plaça dans le petite orphelinat du Village et on l’inscrit automatiquement à l’Académie Ninja. Elle fit ses preuves en silence, avant de s’intégrer au fils des années. Aujourd’hui, alors qu’elle entre dans l’âge adulte, le démon en elle s’impatiente de retourner à Kumo et elle essaye de lui résister pour oublier cette douleur et ce passé. Surtout que le nouvel Otokage, assez jeune, lui rappelle son petit frère, Junichi, disparut lors de la terrible nuit. En sa mémoire, elle voulait être là pour soutenir l’Otokage et revoir un peu de son frère en lui.
Position de combat ( armes particulieres ou shurikens .. ) : Katana volé lors d’une vente aux enchères + armes de bases, fort potentiel en ninjutsu | |
| | | Katara Tsukiyama Genin d'Oto
Nombre de messages : 21 Age : 34 Localisation : Dans les Nuages Date d'inscription : 12/04/2008
Feuille de personnage Nom/Prénom: Tsukiyama Katara Age: 18 exp: (0/100)
| Sujet: Re: Katara Tsukiyama Sam 12 Avr - 15:30 | |
| Jour du Scellement de Yonbi - Spoiler:
-Aujourd’hui c’est mon anniversaire ! Hurla Katara en sautant sur le futon qu’elle avait pris malin plaisir à défaire. Oui aujourd’hui était ce fabuleux jour où on se remémorait sa naissance mais également la malédiction qu’elle engendrait. Bien évidemment, cette donnée, Katara n’était pas sensé l’assimiler. Et pourquoi ? Tout simplement parce qu’elle était une adorable fillette de dix printemps. Elle se débarrassa sans cérémonie de sa chemise de nuit pour se retrouver en petite culotte devant la fenêtre de sa chambre. En contrebas plus loin, on voyait le Village s’éveiller à son tour. Elle sourit, c’était son Village et quelque fut les traditions qu’il portait, elle les acceptait toutes sans condition ni restriction Ce Village était sa fille, son domaine et même son paradis et soupira pour que ce beau paysage ne s’efface jamais, ni de sa mémoire, ni de sa vie entière. Elle sortit de son futon pour aller chercher un Yukata propre dans l’armoire, ce fut ce moment là que la terreur choisit pour débouler dans sa chambre. Un véritable débarquement guerrier avec les cris aigus et le fracas qu’il pouvait engendrer. Junichi, son petit frère venait également de se réveiller et n’avait rien trouvé de mieux que de s’en prendre à sa grande sœur. Elle hurla à son tour en le sommant prestement d’aller se faire voir ailleurs.
-Dégage ! -Onee-chan est toute nue ! Ricana-t-il. -Sors de ma chambre ! Cria-t-elle de nouveau en lui lançant la première chose qui lui tomba sous la main : des guettas
Dans le couloirs des râlements grave se firent entendre. Leur pères arrivait et sûrement à cause du boucan qu’ils faisaient. Kata se dépêcha d’enfiler son Yukata pour cacher sa pudeur de petite fille et la porte coulissa de nouveau sur le chef du Village. Grand et imposant, il avait dans son regard non pas une sagesse émérite mais une tendresse et une dureté qu’on avait du mal à concilier en une même personne. Keitaro Tsukiyama était la fierté de cette petite région et du Village tout entier. Il se dressait contre la politique des Raikage qui s’étaient succédés, lui-même ayant été candidat dans sa jeunesse, issu d’un clan Tsukiyama qui aujourd’hui n’était plus et qui avait eu pour seul donc héréditaire une maîtrise poussée du Raiton. Aujourd’hui, Keitaro c’était retiré de la vie de ninja et ne voulait pas faire connaître ça à ses enfants. Il était venu dans ce petit Village qui souffrait de l’Abysse Infernale et y avait remplacé le chef en promettant que sa future fille se soumettrait au rituel. Sa stature sous-entendait quand même qu’il fut un jour entraîné à être l’élite d’un Village ninja et ses muscles saillants ainsi que son jeune âge, il finissait à peine sa trentaine le rendant encore attirant et respecté de tous.
-Katara ! Junichi ! Quel boucan bon sang ! Gronda-t-il. -Oto-san ! Junichi n’arrête pas de m’embêter ! Chougna la fillette. -Pas vrai ! Réfuta Jun. -Suffit ! Junichi-kun sors d’ici, Katara, prépare-toi pour ce soir, ta mère viendra te chercher et bon anniversaire ma puce, déclara le chef avant de sortir de la chambre, suivi de son jeune fils âgé de six ans.
Katara lâcha un petit soupir de soulagement alors que la porte se refermait. Oui, il fallait qu’elle se prépare, grand-mère Chika lui avait raconté comment se déroulait le rituel. Elle avait écouté attentivement et bien qu’apeurée s’était tout bonnement résigné son sort. C’était pour le bien du Village, alors où était le Mal ? Nulle part, à part en elle. En ce moment, le bijuu était scellé dans une urne funéraire près de l’Abysse. Sa précédente porteuse était morte, c’était pour cela que Katara devait subir le rituel. Elle était en train de se coiffer devant un miroir en pied et de chantonner encore les dernières notes de sa liberté. La porte coulissa de nouveau alors qu’elle avait fini de tresser ses cheveux, elle se retourna tout sourire pour découvrir sa mère. Une femme jeune, à peine trente ans qui s’était mariée très jeune à Keitaro et qui portait le merveilleux nom de Yasuka. Elle était d’une blondeur juvénile qu’elle avait remis à son fils, et non à sa fille. Ses yeux étaient en revanche sombres et son temps trop blanc. Cependant, aucune chose sur cette Terre ne pouvait lui retirer cette beauté maladive qu’elle possédait, fragile de naissance, ses deux accouchements l’avaient rendue de porcelaine. Elle sourit tristement à sa fille, car contrairement à son mari elle avait d’énorme remord à faire peser un tel fardeau à sa progéniture. Elle s’agenouilla doucement pour être à la hauteur de sa fille et ouvrit grands ses bras. Katara fit naître un immense sourire sur son visage et se jeta dans les bras de sa mère avant de respirer son parfum au Jasmin si particuliers. Elle la serra fort.
-Katara chérie, je veux que tu t’amuse bien avant la tombée de la nuit. On va aller au Village faire quelques courses…
* * * * *
Les heures défilèrent et passèrent au rythme d’une belle journée de printemps. Les fleurs de cerisiers tombaient pour venir inonder les rues du Village bordés d’arbres. Yasuka avait acheté des vêtements à sa fille, mais également de la nourriture, ensuite elles avaient dîné dans un petit restaurant bien copieux que tenait grand-mère Chika. Cette dernière n’avait pipé mot, consciente de la gravité de cette journée malgré la superficialité que lui donnait la femme du chef. Et pouvait-on la blâmer, elle essayait juste de rendre les derniers instants de liberté de Katara merveilleux au possible. L’Après-midi défila donc rapidement également, elles allèrent rendre visite aux patients car Yasuka était une herboriste guérisseuse très réputée, en réalité, elle maîtrisait juste très bien son chakra afin d’accéder aux techniques de soin de base. Le soleil finit par tirer sa révérence, souhaitant un dernier joyeux anniversaire à la petite Katara avant de laisser place à la lune. La petite fille fut donc amenée au Temple de tous les dieux. Là où se trouvait l’Abysse, le prêtre et son père étaient déjà présents, ainsi que la table de rituel en pierre où étaient disposées plusieurs bougies. Sa mère la conduisit jusqu’à cette fameuse table de cérémonie et l’aida à s’y allonger. Katara s’agrippa nerveusement au bras de sa génitrice, appréhendant cet instant. Yasuka, triste, la détacha d’elle avec douceur en la rassurant.
-Ne t’en fais pas ma Princesse, tu vas voir…demain, tu oublieras tout. -Yasuka-chan ! La rappela à l’ordre Keitaro. -Par…pardonne-moi, souffla la mère en effleurant de ses lèvres le front de sa fille.
Katara douta à ce moment là, le rituel. Elle y était, toute la journée elle avait pensé à autre chose. Elle s’agita un peu mais le prête vint près d’elle, il lui caressa la joue avant de la retourner doucement sur le ventre. Les assistants du temple se chargèrent de l’attacher. Elle serra les dents pour ne pas crier de peur. Le prêtre lança à un regard au chef du Village qui tenait sa femme dans ses bras, elle était en pleurs. Il hocha la tête pour donner son accord et le prêtre sortit une lame fine, teinte d’encre. Il grave alors le sceau pour renfermer Yonbi alors que les assistants rapportaient l’urne du démon qui était gardée dans un placard attendant le nouveau réceptacle. Les signes que formèrent le prêtre furent longs, compliqués e t-il ne se formalisa pas des cris de la petite fille dont le bas du dos était encore plein de sang et d’encre. Sa douleur était foudroyante et elle ne pouvait s’empêcher de pleurer ou d’appeler ses parents. « Fuuinjutsu !» s’exclama le prêtre avant d’apposer une main sur l’urne et l‘autre sur le tatouage de Katara. Une légère brise se leva dans la pièce alors que de l’urne, un chakra mauve s’échappait, il traversa rapidement le prêtre avant de venir se réfugier dans le corps de la petite qui hurla à s’en casser la voix. Elle gigota mais rien à faire, les liens étaient solide. Sa mère cria avec elle et voulut s’élancer vers sa fille mais Keitaro la retint avant de lui-même s’effondrer en remarquant le visage de sa fille, relevé vers lui suppliant. Puis Katara se figea, ses yeux d’un bleu gris assez clairs s’obscurcirent et elle sombra dans un néant de douleur, assommée par sa propre souffrance. Le prêtre reprit son souffle alors que les assistants jetaient l’urne dans l’ Abysse Infernale comme preuve de l’accomplissement du rituel. Il se tint à la table alors que toujours ses mêmes assistants (ils sont supers utiles) transportaient le corps de Katara dans sa demeure, en haut de la colline. Keitaro essuya sa sueur et s’approcha du prêtre en soutenant sa femme.
-Elle va souffrir pendant 10 nuits consécutives avant de se réveiller, le démon s’installe en elle pour l’installe et vu qu’elle n’est plus jeune pour le scellement….expliqua-t-il. -Il y a plus grave, déclara Keitaro, J’ai bien peur que cette nuit de rituel sera une nuit de trop pour le Raikage, mes éclaireurs ont vu l’armée de Kumo se diriger vers ici. -Peut-on fuir ? -Je doute…..
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| | | Sabaku no Temari Kazekage le 1er / Fondatrice / Miss TNR / T.F / A.S
Nombre de messages : 1704 Age : 30 Localisation : Aux toilettes ... Date d'inscription : 13/12/2007
Feuille de personnage Nom/Prénom: Sabaku No Temari Age: 17 exp: (95/100)
| Sujet: Re: Katara Tsukiyama Sam 12 Avr - 15:37 | |
| Validée [ Personne le post ou j'le couik' ] | |
| | | Shikamaru Nara Juunin de Konoha / Admin / T.F / A.S
Nombre de messages : 604 Age : 31 Localisation : Et si tu cherchais dans l'endroit le plus à l\'ombre x) Date d'inscription : 15/12/2007
Feuille de personnage Nom/Prénom: Shikamaru Nara Age: 16 exp: (50/100)
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| Sujet: Re: Katara Tsukiyama | |
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| | | | Katara Tsukiyama | |
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