Senshin Nakai débarque *misères* xD

Prénom : Anne Aymone ( Anne, Anné, Anna et tous les dérivés comme surnoms xD )
Age : 17
Mangas préférés (dans l'ordre) : Death Note, Bleach, Naruto shippuden, Sousei no aquarion, Air Gear, Trigun, Fate stay night, Samourai champloo, Elfen lied et Kiba ^^
Comment avez-vous connu le forum et pourquoi l'avoir choisi lui ? : par hasard, je cherchais un rpg sur Naruto, un forum qui accepterait les personnages inventés et accorderait une grande liberté d'action. Je suis tombée sur celui-ci et il m'a attirée, j'ai trouvé l'ambiance sympathique. ^^

Personnage RPG :

せんしん なかい

Nom : Senshin
Prénom : Nakai
Age : 16
Village désiré : hum... (Allez, il faut bien faire un choix) : Oto >-< xD ^^
Clan : aucun…

Description physique : De taille moyenne, Nakai est assez mince sous son large manteau, et sa carrure n’impressionne pas… Ses traits fins le font parfois passer pour une fille, mais sa voix grave dévoile aussitôt sa vraie nature. Il possède des cheveux foncés mi-longs (en bataille), qui ceinturent son cou et cachent parfois ses yeux… Ses grandes pupilles assaillent, effrayent. Ne le contrariez pas, sinon vous risquez d’apercevoir ses yeux d’un gris clair pénétrant. Il a l’habitude de sourire, mais d’un sourire ironique, défiant chaque personne que le contrarie. Nakai ne prend pas soin de lui outre mesure, et n’accorde aucune importance à son apparence…

Description du caractère: Son caractère libre est assez difficile à cerner. Et un sourire chez lui ne veut pas forcément dire qu’il vous approuve. Il fait ce qu’il lui plait, et n’aime pas les actes ou les paroles inutiles… Il n’est pas du genre à se rouler dans la boue pour de l’argent, ni à se décarcasser pour une quête qu’il juge inutile. De nature calme et paisible, Nakai se met rarement en colère, et préfère les paroles bien placées que les coups empressés. Mais ne le prenez tout de même pas pour un monstre sans cœur ! Si vous parvenez à retenir son attention, il se montrera plus agréable, et plus sociable. Mais il reste extrêmement méfiant et solitaire en général. Ses commentaires et son ironie omniprésente le caractérisent et font de lui un personnage bien mystérieux…

Histoire :

A quoi pouvait-elle bien penser, cette invitée au teint noirâtre, d’une délicatesse et d’une grâce insoupçonnée ? De toute part, on lui faisait des compliments en lâchant des grésillements, et elle en rougissait de plaisir. Elle s’examina, époussetant ses épaules charnues et ses membres délicats… Il faisait calme dans cette atmosphère confinée, et l’air était agréable : il flottait une odeur assez forte, qu’il l’attirait et émoustillait ses sens. Levant la tête, elle resta immobile un moment. Elle apercevait ce monde aux mille facettes, épousant chaque forme du regard, chaque détail qui ne la laissait point indifférente…

Elle s’ennuyait. Chaque observation avait ses limites, et de son point de vue, elle ne trouvait plus rien d’intéressant, pas la moindre petite miette croustillante, une image sucrée ou un plat oublié. Elle pensait à ces grands animaux cruels, écrasant de leurs présences ses comparses et ses semblables. Toute sa vie (qui ne finirait pas de sitôt, elle l’espérait !), elle les avait ignorés comme l’on évite un danger qui nous dépasse. Ils se croyaient rois, maîtres du monde, mais eux aussi finissaient par nourrir la terre…

Trêve de plaisanteries ! Elle quitta son promontoire et alla découvrir d’autres horizons. C’est alors qu’elle vit une masse informe, et un paysage qui l’intrigua. Doucement, elle avança sur le sol, et se posa sur une forme arrondie. Il y en avait partout ! Elle la renifla et faillit tomber à la renverse : des milliers d’odeurs la recouvrait, senteurs plaisantes mélangées aux parfums désagréables.

Soudain, elle bougea… Et releva aussitôt la patte ! Elle pataugeait dans une boue informe, et ne put s’empêcher d’y goûter. Elle recouvrait le sol aux côtés de ces rochers plats… Sucré.

N’y tenant plus, elle déploya ses ailes et s’envola.

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La mouche s’éloigna et quitta la pièce, laissant derrière elle un spectacle morbide : au sol, un cadavre trônait, dans une position assez…inconfortable. Il baignait dans son sang, et ses mains encore chaudes serraient avec hargne quelques piécettes oubliées parmi tant d’autre… Mortelle cupidité.

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D’un geste de la main, un homme chassa une mouche qui l’approchait…

« Laisse-moi t’aider ! Allez, recule ! Ne penses-tu pas qu’il s’agit d’une grande erreur ? »

Deux ombres se côtoyaient, l’une fragile et l’autre imposante… La nuit venait de tomber et l’obscurité régnait en maître. Seule la lune la défiait, illuminant les ténèbres. La lumière dessinait des tâches blanches sur les arbres, et les feuillages se soulevaient au rythme de la brise. Colline paisible…

Un grand rocher s’élevait, et par-dessus une cascade, qui finissait sa course une vingtaine de mètres plus bas. Autant ici, l’eau s’agitait en grands tourbillons, turpitudes éternelles ; autant ensuite, après s’être jetée dans le vide, elle se transformait en une étendue claire et immobile. Le calme après la tempête…

L’homme répéta :

« Donne-moi la main, Nakai ! »

Il se tut, estimant peut-être que sa demande (qui ressemblait trop à un ordre), ne serait pas prise en compte… L’intéressé se retourna, dévoilant un visage aux traits sombres, et une coiffure en bataille, sauvage. Ses longs cheveux lui donnaient un air étrange. Depuis toujours, sa crinière avait suscité des confusions. On lui servait du « elle » à tous les plats, mais il ne s’en offusquait pas. Son regard brillait de haine et de tristesse, et l’on pouvait lire sur ses joues qu’un tourment avait balayé son existence, chassant ses rêves d’un coup de balai. Des perles coulaient sur sa peau. Il ne voulait toujours pas répondre… Muet comme une tombe…

L’autre homme reprit la parole :

« Je sais… C’est… Une » Pendant un court instant, un sourire s’épanouit aux coins de ses lèvres, mais il s’empressa de le cacher. Le dénommé Nakai semblait trop occupé à fixer le vide pour le remarquer. « … Une grande tragédie » reprit l’homme. « Mais il ne faut pas te laisser abattre ! Est-ce vraiment ce que ton père aurait souhaité ? »

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Un souhait… Une envie le tenaillait, celle de le faire déguerpir ! Il ne voulait pas être dérangé ainsi, son chagrin était trop lourd pour être partagé. En cet instant, deux envies supplémentaires s’ajoutèrent à la liste, et il ne pouvait pas faire le tri. Il voulait fuir… Il voulait sauter, là, maintenant… Que faire ? La tristesse embrouillait son esprit, et sa conscience se laissait dériver sur le flot de la folie, déversant dans ses veines un poison qu’il contenait avec peine.

Tout-à-coup, il se calma, et ressassa ce qu’il avait vu : son père, mort, dans un flot de sang et d’or… Une vision assez cruelle du vice de son géniteur, non ? Il n’avait jamais décelé la cupidité de son père, et ne voulait y croire. Pour lui, une machination se cachait derrière ce monceau d’argent… Il vivait depuis 16 printemps, et ne pouvait concevoir qu’il s’agisse de 16 années de mensonges. Il releva la tête, fixant son oncle qui lui tendait la main. Cet homme l’avait toujours soutenu, et son père et lui-même avait placé en lui une énorme confiance. Au souvenir de son père, son visage se tordit de douleur, et des images l’assaillirent.

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D’un bond, il évita l’attaque et repartit à l’assaut. Sa force n’était peut-être pas grande, mais sa détermination semblait à toute épreuve. Il lançait ses shurikens avec haine, mais son père eut tôt fait de lui en faire la remarque.

« C’est quoi, ça ?! Tu espères m’impressionner ? En lançant des armes pareilles sans précision, tu n’arriveras à rien. Etablis une stratégie ! Découvre mon point faible, allez ! »

L’entraînement durait depuis trois heures déjà, mais au bout d’un moment, le père leva la main et s’écria : « On arrête là ». Il fermait les yeux et fit un sourire… Forcé. Tout le monde voyait bien que la déception s’ancrait au plus profond de son être. Nakai le remarqua, et la blessure qui s’était déjà ouverte dans son cœur s’étira de plus belle. Comme son père le disait souvent, une blessure morale cause autant de dégâts qu’une blessure physique, même plus. Un guerrier devait posséder les Deux Armes, celle du combat et de la parole.

Après la bataille, Nakai avait rejoint son père, et ils avaient longuement contemplé la rivière, sans dire un mot. Par la suite, son père lui avait parlé, lui avait ouvert son esprit. Il s’était confié à lui, lui racontant les nombreuses trahisons qu’il avait vécues.

« Crois moi, de nos jours, personne n’est digne de confiance… Tout le monde se poignarde dans le dos, pour un territoire, à cause d’une idée, pour l’argent. Tu ne peux faire confiance qu’à toi-même… »

« Et Oncle Zukan ? » dit l’enfant.

« Lui, ce n’est pas une personne… C’est un membre de la famille, bien plus qu’un ami... Un grand ninja qui t’a enseigné beaucoup de choses, un meilleur maître que moi… C’est un ange gardien qui a toujours été là pour moi… Pour nous. »

Il cueillit une fleur et la laissa s’envoler au vent. Puis il continua à parler, songeur.

« Ta mère adorait les fleurs de son vivant… Et elle m’assurait qu’une si petite chose avait le pouvoir d’atteindre les cieux, sommets du monde… »

Après un long moment, il détourna la conversation.

« Tes cheveux longs te vont bien, et je sais que ta mère adorait cette coupe… Ses soucis principaux le soir étaient de s’occuper de toi, de tes cheveux. Elle aurait voulu avoir une fille, je le sais… Et pourtant, elle t’a donné un amour infini, qui perdure après sa mort, pour l’éternité… »

Son père lui avait déjà dit maintes fois que des cheveux plus courts le gêneraient tout de même moins au combat, mais l’enfant n’avait rien voulu entendre, gardant avec lui une trace du passé, comme un cordon ombilical qui le reliait encore à sa mère, sa déesse… Son père reprit :

« Garde à l’esprit que tu peux t’améliorer au combat, tu possèdes une capacité qui t’avantage : la concentration qui permet les actes réfléchis. » Nakai resta sceptique, et se retint de rire au souvenir de son acharnement au combat. Ce n’étaient pas vraiment ses qualités premières (…) « L’observation, le regard… Tout se lit dans le regard : l’envie, le désespoir, la ruse, l’hypocrisie… Prévoir les gestes qu’effectuera ton ennemi est possible… Si tu peux lire ton adversaire sans laisser apparaître tes sentiments, alors tu gagneras. »

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Nakai tendit la main à son oncle, qui soupira puis afficha un sourire victorieux. Alors il commença à parler, prenant à témoin le monde entier.

« Mon père n’est pas mort pour de l’argent ! Je jure sur sa mémoire que je redorerai son blason ! »

* Commence déjà par fleurir sa tombe…* pensa L’Oncle Zukan.

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Nakai observa la dernière demeure de son père…

Son village, appelé Yougi, se situait à la frontière de deux grands pays : le pays de l’herbe et de la pluie, et contenait tout au plus quelques familles et des vagabonds. Au départ, un village voué à l’autosubsistance se devait de tisser des liens, d’établir malgré tout quelques contrats et échanges entre les villages voisins. Et l’économie était florissante ! Son père servait d’intermédiaire, nouant des contacts et favorisant le développement de son riche village…

Dans un lieu aussi convivial, chacun se connaissait, et à l’occasion d’un deuil, il n’était pas rare que tous les habitants se réunissent au cimetière…

Nakai et son oncle étaient les seules personnes présentes.

« Quelle bande d’ingrats ! Mon père a toujours tout fait pour ce village ! » Cria Nakai.

Zukan répliqua : « N’oublie pas que depuis peu, ses véritables intentions ont été percées… La guerre qu’il comptait laisser éclater, l’intention de…Mettre ce village en pâtures, et… Même si je n’arrive pas à y croire, à se remplir les poches d’argent sale… »

« Je ne croirai jamais à de telles absurdités… Comment peux-tu salir sa mémoire ? »

Zukan soupira.

« J’aimerai ne pas y croire, moi aussi. Pourtant, c’est bel et bien la vérité… Les contrats ont été retrouvés, les lettres, et l’argent qui baignait dans le sang de ton père n’était qu’un acompte versé par ses débiteurs. Dans ses conditions, admet qu’il est difficile de croire tes simples suppositions. »

Nakai se pétrifia mais cacha ses émotions. Dans son esprit, un tourbillon venait de naître…

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« Alors, Zukan, on trinque ensemble, tous les quatre ? »

Les compères agitèrent leurs verres et éclatèrent d’un rire collectif. Ils vidèrent l’alcool, et l’un d’eux refit le service…

« J’ai bien eu du mal avec ce gamin ! Figurez-vous qu’il voulait sauter dans le vide le lendemain de la mort de son père ! »

« Ca aurait été fâcheux en effet…. »

« Mais, tu ne pouvais pas le pousser ? Un petit coup de pouce au destin ? Cela nous aurait épargné les inconvénients futurs… »

« Idiot ! Qu’est-ce que tu fais de sa sœur, hein ?! » Répliqua Zukan.

« Il a une sœur ? »

« Une demi-sœur pour être précise… Sans doute que notre bon Kagara a-t-il fait mouche lors d’une escapade ? Je ne savais pas qu’il avait du succès auprès des femmes, vu son physique… »

Hilarité générale… Ils s’esclaffèrent, et leurs verres faillirent se renverser. Un craquement retentit silencieusement durant cet échange de bonnes blagues.

« Mais bon, » reprit Zukan, « Il me l’a confié un soir, après s’être saoulé… A ce que je sais, le gamin ne le sait pas. »

« C’est une bonne chose… C’est donc pour cela que tu ne l’as pas tué. Si le gamin venait à mourir, la sœur pourrait prendre ta place de bon droit. »

« Exactement. …Je ne sais pas où elle se trouve, et je ne veux pas prendre de risques… Le gamin me passera son commandement volontairement. Ha Ha. Quand je pense à la tête des villageois ! Ce Kagara, véritable traître. Avouez que c’est une idée de génie de ma part, non ? » S’écria Zukan.

Tous se figèrent, un hurlement venait de retentir à l’extérieur.

« Restez ici ! » commanda Zukan. Il prit ensuite la porte de derrière et l’ouvrit d’un grand geste.

Soudain, un sifflement brassa l’air, et un kunai vint se ficher dans les planches du mur, à quelques millimètres du coup de l’Oncle. Une voix retentit.

« TRAITRE ! COMMENT AVEZ-VOUS PU ?!!! Il vous avait offert sa confiance ! »

Nakai venait de faire surface, l’obscurité ne le cachant plus.

« Tiens, tu peux viser maintenant ? Comme c’est étrange ! Petit minable ! Qu’est-ce que tu t’imagines ?! »

« Je dirai au monde entier quel traître vous êtes ! »

« Et avec quelles preuves ? Qui te fera confiance ? »

Ses paroles furent accompagnées d’un rire rauque, auquel les compagnons de l’Oncle, récemment sortis, se joignirent avec joie.

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Nakai avait sauté à bout de force. Il avait senti l’eau s’engouffrer dans sa bouche, dans ses yeux. Et pourtant il était resté sous l’eau, plus longtemps qu’il ne l’aurait cru… Du sang s’écoulait de ses tempes, car il avait heurté des rochers dans sa chute. Plonger d’une telle hauteur n’était pas vraiment conseillé (…)

Son oncle le croyait-il mort ? Peut-être bien que oui, peut-être bien que non… Il restait préoccupé par son avenir, ce qu’il allait faire pour se venger. Jamais il ne pourrait le faire seul…

Il nagea et se cacha près d’un buisson. Ce qu’il avait emporté se résumait à peu de choses : quelques kunai et shurikens, un sac… Il était content de ne pas l’avoir perdu, car il lui servirait plus tard. Une grande tristesse l’envahit…

Il s’avança au bord de l’eau, contemplant son visage décharné… Il avait beaucoup maigri ces derniers jours. La haine fit place à une rage grandissante, et soudain, il attrapa un kunai et le porta à son cou…Il exécuta alors un geste désespéré…

Et des mèches de cheveux tombèrent sur le sol… Il se créait de nouveaux traits, une nouvelle existence. Comme si le passé disparaissait de sa vie.

A quoi pouvait-il bien penser ?

A un parfum de vengeance…

………………………………

Mais pour réaliser ses rêves, Nakai avait besoin de combattre et d'apprendre. L'expérience lui manquait... Tout au long de son existence, il n'avait jamais été exercé qu'au Taijutsu. Et le désir de pouvoir le rongeait, il voulait se convaincre qu'il n'était pas ce garçon faible et décevant son père... Il a alors entamé un long voyage, qui le conduisit au-delà des frontières et des paysages qu'il connaissait. Autour de lui, le décor lui offrait des sensations nouvelles, et il passait beaucoup de temps à songer, à flâner le long des rivières et à découvrir de nouveaux parfums... Mais le livre de sa vie s'était craquelé, et la page qui le faisait stagner se couvrait de poussières et de douleurs.

Qui était-il ? Un homme ? Un ninja... Un bien faible combattant. Et que faisait-il en ce moment ? Il avait l'impression de fuir tel un voleur, alors qu'il n'avait commis aucune faute. Bien des questions lui restaient en tête, tout autant de suggestions qui s'insinuait en lui. Continuerait-il à déserter sans relâche ? Il deviendrait vagabond et apprendrait au détour des chemins ? Cela lui apparaissait impossible. Auparavant, il aurait foncé tête baissée vers son destin, mais son esprit lui intimait de nouvelles réflexions, une nouvelle manière de penser.

Il lui fallait un toit. Pas seulement un toit. Un village, des personnes qui pourraient l'aider à s'améliorer. On ne peut pas apprendre seul... Il releva la tête, perdu dans ses pensées. Le soleil brillait et la faible brise soulevait les mèches qui encombraient son visage. Des rizières... Il en voyait partout, et cela le grisait. Il en déduit immédiatement l'endroit où il se trouvait : le pays du riz... Et quelque part parmi cette étendue se trouvait le village du son : Oto.

Il déposa son sac et son regard balaya les environs... Il aimait ce paysage et espérait s'y sentir chez lui. Car il voulait s'arrêter...Ici. Il se mit en route et partit à la recherche du village d'Oto, nom qui résonnait dans son esprit comme une douce mélodie...




Position de combat: Ses armes, ses poings, sa concentration… Il aimerait trouver une arme qui lui corresponde, et forger grâce à elle, des techniques de combat imbattables…

Nîndo : Devenir fort et narguer la mort, afin de vaincre son oncle et de redorer la mémoire de son père… Et de retrouver sa sœur.

Pas de problème ^^ Je vais m'y atteler tout de suite ^^

C'est parce qu'au départ, je ne savais pas quel village choisir, donc j'ai laissé un blanc dans l'histoire =)

La c classe

Oui, je ne pouvais pas la poster en un bloc >-<

Voilà, j'ai édité mon histoire, j'espère que cela convient ^^

++

Bienvenue !

Merci à tous ^^

Je signale au passage que je vais reprendre les cours (donc pas autant de temps que pendant les vac malheureusement ><),

mais je ferai de mon mieux pour participer =)