Torture [ Rang B ]

" Keitaro Matsui, un traître de son village. Il se cache quelque part dans le village mais il ets clair qu'il coopère avec l'extérieur, surement une sorte d'espion. Nous ne savons pas grand chose de ces attentions et quel est son but. Dans la salle prévue a cet effet se trouve 2 hommes et une femme qui ont été en contact avec lui, qui le conaisse et ne doivent pas non plus être des gens tres nets. Ils ne veulent donner aucune informations mais je uis convainque qu'ils savent ou se cache se malfrat. Tu devras les interroger, tenter de leur soutirer ces infos. La torture est autorisée, c'est aussi pour cela que je t'ai confié cette mission Gaara .. Mais ne les tus pas, ils faudrais qu'ils puisse parler tout de même. Si jamais tu parviens a découvrir sa cachette, tu ira là bas et tentera d'arreter ce Keitaro. Si tu a besoin d'homme pour t'aider viens me voir et tu pourra former une équipe : Bonne chance ! "


Le soleil commençait à peine à se lever sur Suna, dardant pourtant ses rayons déjà chaud sur le désert et ses habitants. La chaleur n'avait jamais été un problème pour le jeune Chuunin qui se trouvait là, assis sur la jarre qu'il avait posé sur une dune. Normal, quand on a vécu à Suna toute sa vie, ou presque... La journée s'annonçait banale, rien d'anormal, pourtant le Chuunin des sables avait un mauvais préssentiment. Celui-ci lui disait que quelque chose de mauvais se préparait, mais ni quoi, ni où, ni quand, ni même si ce n'était pas sa propre imagination qui délirait. A force de passer autant de temps sous le soleil brûlant, on n'était pas à l'abri d'une insolation... Mais ce n'était pas ça. Enfin, c'est ce qu'il se disait. Mais quelque chose, dans l'air, le faisait se sentir de plus en plus mal à l'aise. Gaara, ne sachant pas vraiment quoi faire, décida de renter. Detestant se sentir aussi mal sans raisons, presque en inferiorité, il décida d'aller en parler à Temari. Celle-ci savait peut-être quelque chose. Cette sensation désagréable avait commençé il y a quelques jours déjà, mais s'était intensifié aux premiers rayons de soleils. Peut-être que leur Kage avait été informé de quelque chose et n'en n'avait pas parler aux habitants, pour diverses raisons... A mesure qu'il avançait et s'approchait du bureau de sa grande soeur, son malaise grandissait. Vivement qu'il arrive...

Gaara avait poussé la porte du bureau et parlé d'une voix forte. Mais sa soeur avait l'air de mauvaise humeur, ce qui eut pour effet d'accentuer le mauvais pressentiment, et l'avait coupé sèchement. Il n'y était pas habitué, personne ne l'interrompait, et encore moins de cette façon là... Mais il garda le silence et hocha la tête, montrant qu'il l'écoutait.

Elle fit une pause et reprit d'une voix plus posée que précédemment.

Oh... Son kage semblait vraiment mal en point... Soit c'était sa grossesse, soit le sentiment que lui même avait ressentit ce matin. Ou alors, c'était l'eternel mauvais caractère de Temari, mais il en doutait.

Gaara aquiesca et se retourna.

En effet, dès qu'il avait surt en quoi consistait sa mission, le mauvait pressentiment s'était envolé, comme si on enlevait un poid de l'estomac du travesti. Des fois, il se detestait, lui et ses pressentiments à la c*n. Ca servaità rien... Mais bon, ce n'était pas vraiment l'heure de se plaindre pour rien, aujourd'hui, il irait torturé. Bizarrement, cette simple pensée le fit légèrement frissoner d'exitation. Depuis combient de temps ne l'avait-il pas fait ? Il s'avança vers la salle de torture, située au sous-sol. Il posa avec douceur sa main sur la poigné et ouvrit la porte plus lourde qu'elle n'en avait l'air. Il referma ensuite derrière lui. Voilà pourquoi la porte était si lourde : toute la salle était comme une chambre pour fous, matelassée. A la différence qu'elle n'était plus blanche depuis longtemps. Ceci dans le but de l'insonorisée. Ca plus le fait qu'elle soit au sous sol empêchait les villageois d'entendre les cris de douleurs desespérés des torturés. Il fit un sourire carnassier aux trois personnes présente dans la salle. Ah... Il retrouvait des sentiments qu'il avait oublié jusqu'à présent. Il commença par attraper un homme par le bras en serrant si fort qu'il y laissa des marques rouges qui se transformèrent rapidement en bleu. Il le jeta contre le mur opposé et s'accroupit face à lui.

Plus direct, tu meurs. Gaara savait bien que l'homme ne répondrait pas juste parce qu'il l'avait balancé contre un mur, matelassé en plus, mais bon, des fois, les gens étaient bizarre. L'homme regarda Gaara de haut mais resta silencieux. Le Chuunin haussa les épaules et recommenca avec les deux autres. Même réaction... Ah la loyauté... Ils n'étaient donc pas au courant que la personne qu'il protégeait les balanceraient sans le moindres scrupules ? C'est d'ailleurs ce qu'il demanda, et la femme répondit d'une voix où se melait une sorte d'admiration et de peur :

Gaara haussa un sourcil. Bizare les gens. De nouveau, il haussa les épaules et son sourire si inhumain s'aggrandit encore. Dans le fond, il était content que les interrogés gardent leur langue, ça lui permettrait de pouvoit exterioriser ce qu'il avait si longtemps gardé à l'interieur... Il commença avec le plus jeune des deux hommes. La vingtaine sans doute... Il s'approcha doucement vers lui, d'un pas felin, avant de le relever en attrapant son bras. Tous étaient restés à terre jusque là. Il sortit d'une sacoche accroché sur la ceinture du côté droit une paire de gants d'attaques, c'est à dire deux gants reliés entre eux par une chaîne parsemée de piques. Ses griffes très affûtées sont pleines de poison. Gaara, lui, pour l'occasion, avait retiré le poisons de chacunes des épines, car l'odre de Temari lui interdisait de tuer les personnes enfermés avec lui. Gaara enfila les gants avait de regarder le jeune homme. Cette fois-ci, l'envie de meurtre n'était plus visible que sur son sourire, mais aussi dans ses yeux, qui brillaient d'une lueur étrange. A peine eut-il enfoncé la chaîne dans le cou de l'homme que, bizarrement, il se sentit bien. Beaucoup mieux que lorsque il mangeait ou buvait après trois jours de jeûn. Gaara faisait partie des CA, les Cinglés Anonymes, qui ne vivaient que pour tuer et torturer. Ils n'étaient pas beaucoup là-dedans, sans doute en était-il le seul, qui sait ? Mais d'anciennes émotions, sentiments étaient remontés en Gaara à l'instant ou la chair percée avait laissée s'écoulé un filet de sang encore chaud sur les doigts gantés du Chuunin. Sa soeur avait peut-être fait une bêtise en l'envoyant reglé cette affaire, car l'ancien Gaara commençait peu à peu à se reveillé, et à surpassé ce qu'il était devenu. Mais autant profité de la mission au maximum. Il retira lentement et en faisant bouger les aiguilles encore dans le cou pour plus de douleur la chaîne et laissa goutter quelques gouttes de sang qui s'écrasèrent au sol. Il regarda l'homme qui avait serré les dents, mais ne disaient rien. Bien, chacun sa souffrance. Il ecarta les bras, de façon a se que la chaîne soit tendu le plus possible. Elle était si tendu d'ailleurs qu'elle vibra, menaçant de céder. Mais elle était solide, et le Chuunin ne lui en laissa de toutes façons pas le temps. Il souleva le tee-shirt de l'homme et y enfonça violemment les piques. Là, de nouveau, il les fit bouger à l'interieur de la chair, mais ne les sortit pas. Il laissait le sang couler le long des vêtements du complice. Toujours rien. Bien... Ce n'était pas grave. Il retira tout assi violement qu'il l'avait enfoncé la chaîne avant de regarder l'homme dans les yeux :

Non, il n'allait pas le tuer, simplement le torturer. Il enleva ses gants, nettoyant la chaîne avec du desinfectant qu'il fit couler dessus et rangea le tout. Il sortit, d'une sacoche siotuée à gauche cette fois, 3 senpons. Généralement utilisées en medecine, ou dans le nuages d'aiguilles, Gaara lui avait trouvé quelques autres usages. Il n'en utiliserait qu'en avec luii, l'autre peut-être avec la femme. Il avait tellement d'idées de tortures que s'en était malsain... Bref, les trois senpons dans sa main droite, il jeta un rapide coup d'oeil au visage de l'homme meurtri avant de regler de quelques millimetres la positions de ses senpons. Les yeux toujours baissés sur la main qui tenaient les armes, il sourit d'un air qui ne présageait rien de bon. Les petites aiguilles lancçèrent un reflet aveuglant à l'opposant, et Gaara murmura à son oreille quelque chose du genre " Profite de ce que tu voit. " Une fois dit, il planta avec rage les 3 senpons dans l'oeil droit de l'homme qui hurla sous le coup de la douleur. La femme poussa un petit cris étouffé et se plaqua contre le mur, et l'homme plus âgés fit mine de se redresser. Gaara lui lança un regard noir qui semblait signifier un truc du genre Pas bouger. Le chuunin fit bouger les senpons et le garçon cria plus fort que précédement. Son oeil va&lide versa des larmes brpulantes, mais le sang qui s'écoula de l'oragne meurtri était encore plus chaud. Au toucher du liquide rouge, Gaara murmura quelque chose d'inaudible avan,t de se reprendre. Il inclina les senpons d'une manière spéciale, ce qui, en plus d'être necessaire pour ce qu'il allait faire ensuite, déchirèrent l'intrèrieur de l'oeil. Hurlant toujours plus frot, l'homme se débattait, mais Gaara n'y fit pas attention. Il arracha alors, à l'aide des aiguilles, l'oeil de son orbite. Il était encore tenu par quelques ligaments qui cédèrent sous l'effet de la traction. Il avait une idée un peu déguelasse, mais il était là pour les faire parler, alors autant utiliser les grands moyens =) Il posa l'oeil dans une sacoche vide qui fut bientôt ensanglantée. L'orbite vide, quant à lui, versait une quantité impressionante de sang, mais pas assez pour tuer l'homme.

Sa voix était rauque, et ses yeux luisaient étrangement. Sa question s'adressait a tout le monde, mais tout ce qu'il entendit, c'était les pleurs, inutiles, de la femmes, un soupir desaprobateur de l'Homme B, et les hurlements incessants de l'homme A. Incessants et insupportables d'ailleurs. Gaara, aggacer, enfonça une petite quantité de sable dans la bouche du complice, qui se tut en essayant de cracher le sable. Rien à faire, Gaara le contrôlait avec son chakra. Il le fit descendre le long de la gorge de l'homme A et detruisit un à un tous les organes necessaires pour parler, produire et son et, par conséquent, hurler, avec ses grains de sables en les irritants, coupants les plus fins et abîmants sèrieusement les plus gros. Il laissa ensuite sa poignée de sable là dedans, qui continua sa descente en irritant tout ce qu'elle rencontrait. Elle fut dissoute par le suc gastrique, mais les dommages étaient irreversibles. L'homme se débattait, essayait d'hurler, pleurait de l'oeil gauche, tout ça à la fois. Malheureusement, l'homme ne pouvait plus non plus lui dire la cachette de l'ennemi. Mais il pouvait l'écrire. Il sortit un stylo et un morceau de papier Poussant le méchanceté jusqu'au bout, il avait placés quelques piques dans le stylo, qui s'enfoncèrent dans les doigts du pauvre homme. Celui-ci écrivit quelques chose de presque illisible sous le sang qui avait goutté dessus, mais Gaara put lire un truc du genre "Va te faire voir". Pas de problème. Il donna simplement un coup de pied à Monsieur A avant d'aller vers l'homme B. Celui-ci semblait plus solide, mais il lui fit subir la même chose, seulement avant de lui arracher son oeil, il lui coupa ce qui était necessaire à la reproduction. A entendre les cris de cet homme, si impassible jusqu'alors, ca devait faire mal. Tant mieux, c'était le but. Il arracha ensuite de la même façon l'oeil droit de l'homme B qui cria plus frot. Voyant le sable sortir de la gourde du Chuunin et se rapellant l'homme A, il fit ce qu'il pût pour se taire. Satisfait, Gaara attendit. L'homme lui dit d'une voix étranglée la même chose que ce que l'homme A lui avait dit. Très bien...

L'homme regarda Gaara avec un mélange de haine et de peur. Amusant à voir, mais inutile. Il lui fit subir la même chose et se tourna vers la femme, qui avait apparement vomit. Il avait bien une idée, du coup, mais il en vomirait aussi, alors il abandonna, et s'en tînt à son plan de départ. Il attrapa le bras gauche de la femme de ses mains pleines du sangs des deux compagnons de la miss et l'emmena dans un endroit encore propre. Bien, elle était déjà au bord de la crise, et donc au bord de tout lâcher, de lui dire ce qu'il voulait. Suffirait de pousser un peu plus. Il prit tous ses senpons, exeptés les trois qui avait déjà servit, et comme il ne trouvait pas ça suffisant, il en fabriqua quelques un avec son sable, variante de la technique Shurikens de sables. Il leis lança tous en des points différents sur la cible, et n'en loupa aucun. Il ne toucha aucun organe vital, comme prévu. La femme hurla et suppliant Gaara d'arreter. Il la gifla, mit ses gants normaux et sortit l'oeil de sa sacoche. Il avait beau être sadique, l'oeil avait un toucher désagréable. Ce qu'il allait faire était complétement déguelasse, mais quitte à torturer, autant aller jusqu'au bout. Il força la femme à opuvrir la bouche et lui enfonça l'oeil dedans. Celle-ci essaya de cracher, pleura et vomit, tout à la fois, mais l'oeil était maintenu pas quelques grains de sables. Elle savait ce qu'elle avait à faire. Soit elle parlait, soit elle devrait ingurgiter l'organe qu'elle avait dans le bouche, plus les trois autres si ça ne suffisait pas. Toujours en pleurant, elle dit à Gaara :

Hé Hon ? La femme éssayait de patrler sans toucher l'oeil... Il le retira alors afin de mieux comprendre ce qu'elle disait :

Larmes et supplication. Bien, on approchait. Il sourit et posa, toujours à l'aide de ses gants, l'oeil non loin de lui, au cas où elle changerait subitement d'avis. Mais à la vue du coup d'oeil dégoutée à l'organe qui se trouvait à terre, il comprit qu'elle ne changerait pas d'avis. Déguelasse, mais efficace =)

La femme, toujours en pleurs, priait interieurement pour que ce soit suffisant. Gaara se penchant en effleurant doucement le bras de la femme, qui frissona de peur, et dit à son oreille :

Il sourit et sortit de la pièce. Avant d'aller au "repère", il devrait se changer. Le sang séché sur ses vêtemnts dégageait une odeur putride. De plus, son ancien instinct s'était rendormi lorsque la femme avait parlé, et il ne voulait pas que les villageois le pointe du doigt. Par chance, Gaara pouvait, grâce à son sable, se télépiorter sur de courtes distances. Il atterit donc chez lui sans encombres, se changea, mit ses vêtement à laver et aller vers la porte Est. Arrivé là, il fit 15 pas à gauche et 47 pas vers l'Est. à destination, il souleva le sable par sa volonté avant de déposer la masse un peu plus loin. Au fond, il tomba sur un mur. C'était donc grâce à ça qu'il pouvait respirer... Mais par conséquent, il y avait une porte quelque part. Il souleva silencieusement le sable et dégagea entirement le rapère improvisé. Il y avait en effet une porte, et un tunnel qui partait du sol et menait à cette porte. Gaara avait toujours crut que le bout metallique qui dépassait était un tuyeau qui amenait l'eau, ou l'elecrticité. Il déscendit les barreaux qui servaient d'echelle et atterit en douceur devant la porte. Il l'ouvrit et découvrit un homme allongé sur son lit, qui se redressa immédiatement et tenta de prendre la fuite en lui balançant une boule de terre immense et rapide. Il maitrisait donc la terre. Gaara se téléporta a l'autre bout de la pièce. Oui, c'était de la triche, mais c'était mieux qyue de finir écrasé.

Sa voix était fluide et pleines de promesses. L'adversaire fut enfermé dans une boule de sable, et Gaara re'joint, avec la boule ensablée, la prison de Suna. Il y déposa le prisonnier, ra^pella son sable, et alla voir Temari

Sourire d'enfant qui vient de faire une blague